bibliothèque municipale de Lyon

La Compagnie Ilotopie propose DéRIVES, spectacle urbain et musical en goguette au gré du courant de la Saône. A même l'eau, le petit joueur de flûte perché et ses rats malins en pétales flottants accompagnent un troupeau d'avatars dans la nuit, long poème alangui sur un fleuve apaisé. 150 silhouettes lumineuses vont franchir ponts et passerelles allant du Pont Koenig jusqu'au pont de la Feuillée puis la nuit suivante jusqu'au quai Fulchiron.

La Compagnie Ilotopie propose DéRIVES, spectacle urbain et musical en goguette au gré du courant de la Saône. A même l'eau, le petit joueur de flûte perché et ses rats malins en pétales flottants accompagnent un troupeau d'avatars dans la nuit, long poème alangui sur un fleuve apaisé. 150 silhouettes lumineuses vont franchir ponts et passerelles allant du Pont Koenig jusqu'au pont de la Feuillée puis la nuit suivante jusqu'au quai Fulchiron.

La Compagnie Ilotopie propose DéRIVES, spectacle urbain et musical en goguette au gré du courant de la Saône. A même l'eau, le petit joueur de flûte perché et ses rats malins en pétales flottants accompagnent un troupeau d'avatars dans la nuit, long poème alangui sur un fleuve apaisé. 150 silhouettes lumineuses vont franchir ponts et passerelles allant du Pont Koenig jusqu'au pont de la Feuillée puis la nuit suivante jusqu'au quai Fulchiron.

La Compagnie Ilotopie propose DéRIVES, spectacle urbain et musical en goguette au gré du courant de la Saône. A même l'eau, le petit joueur de flûte perché et ses rats malins en pétales flottants accompagnent un troupeau d'avatars dans la nuit, long poème alangui sur un fleuve apaisé. 150 silhouettes lumineuses vont franchir ponts et passerelles allant du Pont Koenig jusqu'au pont de la Feuillée puis la nuit suivante jusqu'au quai Fulchiron.

La Compagnie Ilotopie propose DéRIVES, spectacle urbain et musical en goguette au gré du courant de la Saône. A même l'eau, le petit joueur de flûte perché et ses rats malins en pétales flottants accompagnent un troupeau d'avatars dans la nuit, long poème alangui sur un fleuve apaisé. 150 silhouettes lumineuses vont franchir ponts et passerelles allant du Pont Koenig jusqu'au pont de la Feuillée puis la nuit suivante jusqu'au quai Fulchiron.

La Compagnie Ilotopie propose DéRIVES, spectacle urbain et musical en goguette au gré du courant de la Saône. A même l'eau, le petit joueur de flûte perché et ses rats malins en pétales flottants accompagnent un troupeau d'avatars dans la nuit, long poème alangui sur un fleuve apaisé. 150 silhouettes lumineuses vont franchir ponts et passerelles allant du Pont Koenig jusqu'au pont de la Feuillée puis la nuit suivante jusqu'au quai Fulchiron.

La Compagnie Ilotopie propose DéRIVES, spectacle urbain et musical en goguette au gré du courant de la Saône. A même l'eau, le petit joueur de flûte perché et ses rats malins en pétales flottants accompagnent un troupeau d'avatars dans la nuit, long poème alangui sur un fleuve apaisé. 150 silhouettes lumineuses vont franchir ponts et passerelles allant du Pont Koenig jusqu'au pont de la Feuillée puis la nuit suivante jusqu'au quai Fulchiron.

L'artiste [Jacques Rival] n'en est pas à son coup d'essai à Lyon. On se souvient de ses installations lumineuses XXL pour la Fête des lumières, de la boule à neige qu'il avait installée place Bellecour ou de la fontaine des Jacobins (2017) transformée en horloge. De l'insolite, de l'humour et du démesuré que l'on retrouve encore ici dans cette mâchecroute très colorée, désormais bien ancrée dans le présent, entre le pont de la Guillotière et le pont Wilson. De la légende du monstre marin décrit par Rabelais comme une créature terrible errant dans les eaux du Rhône, il ne reste que sa taille, gargantuesque. Sa tête mesure huit mètres de haut, 15 de large. On imagine sans peine la taille du reste du corps immergé sous les eaux du Rhône. Ses immenses yeux taquins peut-être pas tout à fait réveillés, regardent le promeneur, comme interloqué de trouver quelqu'un encore ici. Les crues du Moyen-Age qu'elle aurait provoquées, dans sa grande colère, n'ont-t-elles pas eu raison de Lyon et de ses habitants ? " Mon idée n'était pas que ce monstre marin fasse peur. On s'est détaché du personnage rabelaisien pour aller vers l'humour et la bienveillance à l'image de ce que dit le festival, prendre soin de l'eau, aimer les fleuves, aller à leur rencontre... C'est un peu la mascotte. Une rencontre impromptue dans la nature. Je voulais que ses yeux sondent notre âme. Je peux parler à un public averti qui comprend les codes graphiques. Mais surtout, je parle aux enfants. Depuis que je travaille à Lyon, pour le 8 décembre, j'ai toujours eu envie de créer des oeuvres qui me ramènent au sentiment enfantin de l'émerveillement et de la fraîcheur. Dans ce monde-là, l'imaginaire dépasse tout." in Le Progrès de Lyon, 30 juin 2022.

Pour renouer avec le côté festif du fleuve, deux guinguettes sont installées, l'une à l'Île Barbe, côté Saône, et l'autre entre le pont Wilson et le pont de la Guillotière, côté Rhône. Des bals et des espaces de restauration avec des produits locaux, bio et en circuit court y sont proposés le vendredi 1er et le samedi 2 juillet.

L'artiste [Jacques Rival] n'en est pas à son coup d'essai à Lyon. On se souvient de ses installations lumineuses XXL pour la Fête des lumières, de la boule à neige qu'il avait installée place Bellecour ou de la fontaine des Jacobins (2017) transformée en horloge. De l'insolite, de l'humour et du démesuré que l'on retrouve encore ici dans cette mâchecroute très colorée, désormais bien ancrée dans le présent, entre le pont de la Guillotière et le pont Wilson. De la légende du monstre marin décrit par Rabelais comme une créature terrible errant dans les eaux du Rhône, il ne reste que sa taille, gargantuesque. Sa tête mesure huit mètres de haut, 15 de large. On imagine sans peine la taille du reste du corps immergé sous les eaux du Rhône. Ses immenses yeux taquins peut-être pas tout à fait réveillés, regardent le promeneur, comme interloqué de trouver quelqu'un encore ici. Les crues du Moyen-Age qu'elle aurait provoquées, dans sa grande colère, n'ont-t-elles pas eu raison de Lyon et de ses habitants ? " Mon idée n'était pas que ce monstre marin fasse peur. On s'est détaché du personnage rabelaisien pour aller vers l'humour et la bienveillance à l'image de ce que dit le festival, prendre soin de l'eau, aimer les fleuves, aller à leur rencontre... C'est un peu la mascotte. Une rencontre impromptue dans la nature. Je voulais que ses yeux sondent notre âme. Je peux parler à un public averti qui comprend les codes graphiques. Mais surtout, je parle aux enfants. Depuis que je travaille à Lyon, pour le 8 décembre, j'ai toujours eu envie de créer des oeuvres qui me ramènent au sentiment enfantin de l'émerveillement et de la fraîcheur. Dans ce monde-là, l'imaginaire dépasse tout." in Le Progrès du 30 juin 2022.

L'artiste [Jacques Rival] n'en est pas à son coup d'essai à Lyon. On se souvient de ses installations lumineuses XXL pour la Fête des lumières, de la boule à neige qu'il avait installée place Bellecour ou de la fontaine des Jacobins (2017) transformée en horloge. De l'insolite, de l'humour et du démesuré que l'on retrouve encore ici dans cette mâchecroute très colorée, désormais bien ancrée dans le présent, entre le pont de la Guillotière et le pont Wilson. De la légende du monstre marin décrit par Rabelais comme une créature terrible errant dans les eaux du Rhône, il ne reste que sa taille, gargantuesque. Sa tête mesure huit mètres de haut, 15 de large. On imagine sans peine la taille du reste du corps immergé sous les eaux du Rhône. Ses immenses yeux taquins peut-être pas tout à fait réveillés, regardent le promeneur, comme interloqué de trouver quelqu'un encore ici. Les crues du Moyen-Age qu'elle aurait provoquées, dans sa grande colère, n'ont-t-elles pas eu raison de Lyon et de ses habitants ? " Mon idée n'était pas que ce monstre marin fasse peur. On s'est détaché du personnage rabelaisien pour aller vers l'humour et la bienveillance à l'image de ce que dit le festival, prendre soin de l'eau, aimer les fleuves, aller à leur rencontre... C'est un peu la mascotte. Une rencontre impromptue dans la nature. Je voulais que ses yeux sondent notre âme. Je peux parler à un public averti qui comprend les codes graphiques. Mais surtout, je parle aux enfants. Depuis que je travaille à Lyon, pour le 8 décembre, j'ai toujours eu envie de créer des oeuvres qui me ramènent au sentiment enfantin de l'émerveillement et de la fraîcheur. Dans ce monde-là, l'imaginaire dépasse tout." in Le Progrès du 30 juin 2022.

L'artiste [Jacques Rival] n'en est pas à son coup d'essai à Lyon. On se souvient de ses installations lumineuses XXL pour la Fête des lumières, de la boule à neige qu'il avait installée place Bellecour ou de la fontaine des Jacobins (2017) transformée en horloge. De l'insolite, de l'humour et du démesuré que l'on retrouve encore ici dans cette mâchecroute très colorée, désormais bien ancrée dans le présent, entre le pont de la Guillotière et le pont Wilson. De la légende du monstre marin décrit par Rabelais comme une créature terrible errant dans les eaux du Rhône, il ne reste que sa taille, gargantuesque. Sa tête mesure huit mètres de haut, 15 de large. On imagine sans peine la taille du reste du corps immergé sous les eaux du Rhône. Ses immenses yeux taquins peut-être pas tout à fait réveillés, regardent le promeneur, comme interloqué de trouver quelqu'un encore ici. Les crues du Moyen-Age qu'elle aurait provoquées, dans sa grande colère, n'ont-t-elles pas eu raison de Lyon et de ses habitants ? " Mon idée n'était pas que ce monstre marin fasse peur. On s'est détaché du personnage rabelaisien pour aller vers l'humour et la bienveillance à l'image de ce que dit le festival, prendre soin de l'eau, aimer les fleuves, aller à leur rencontre... C'est un peu la mascotte. Une rencontre impromptue dans la nature. Je voulais que ses yeux sondent notre âme. Je peux parler à un public averti qui comprend les codes graphiques. Mais surtout, je parle aux enfants. Depuis que je travaille à Lyon, pour le 8 décembre, j'ai toujours eu envie de créer des oeuvres qui me ramènent au sentiment enfantin de l'émerveillement et de la fraîcheur. Dans ce monde-là, l'imaginaire dépasse tout." in Le Progrès du 30 juin 2022.

L'artiste [Jacques Rival] n'en est pas à son coup d'essai à Lyon. On se souvient de ses installations lumineuses XXL pour la Fête des lumières, de la boule à neige qu'il avait installée place Bellecour ou de la fontaine des Jacobins (2017) transformée en horloge. De l'insolite, de l'humour et du démesuré que l'on retrouve encore ici dans cette mâchecroute très colorée, désormais bien ancrée dans le présent, entre le pont de la Guillotière et le pont Wilson. De la légende du monstre marin décrit par Rabelais comme une créature terrible errant dans les eaux du Rhône, il ne reste que sa taille, gargantuesque. Sa tête mesure huit mètres de haut, 15 de large. On imagine sans peine la taille du reste du corps immergé sous les eaux du Rhône. Ses immenses yeux taquins peut-être pas tout à fait réveillés, regardent le promeneur, comme interloqué de trouver quelqu'un encore ici. Les crues du Moyen-Age qu'elle aurait provoquées, dans sa grande colère, n'ont-t-elles pas eu raison de Lyon et de ses habitants ? " Mon idée n'était pas que ce monstre marin fasse peur. On s'est détaché du personnage rabelaisien pour aller vers l'humour et la bienveillance à l'image de ce que dit le festival, prendre soin de l'eau, aimer les fleuves, aller à leur rencontre... C'est un peu la mascotte. Une rencontre impromptue dans la nature. Je voulais que ses yeux sondent notre âme. Je peux parler à un public averti qui comprend les codes graphiques. Mais surtout, je parle aux enfants. Depuis que je travaille à Lyon, pour le 8 décembre, j'ai toujours eu envie de créer des oeuvres qui me ramènent au sentiment enfantin de l'émerveillement et de la fraîcheur. Dans ce monde-là, l'imaginaire dépasse tout." in Le Progrès du 30 juin 2022.

L'artiste [Jacques Rival] n'en est pas à son coup d'essai à Lyon. On se souvient de ses installations lumineuses XXL pour la Fête des lumières, de la boule à neige qu'il avait installée place Bellecour ou de la fontaine des Jacobins (2017) transformée en horloge. De l'insolite, de l'humour et du démesuré que l'on retrouve encore ici dans cette mâchecroute très colorée, désormais bien ancrée dans le présent, entre le pont de la Guillotière et le pont Wilson. De la légende du monstre marin décrit par Rabelais comme une créature terrible errant dans les eaux du Rhône, il ne reste que sa taille, gargantuesque. Sa tête mesure huit mètres de haut, 15 de large. On imagine sans peine la taille du reste du corps immergé sous les eaux du Rhône. Ses immenses yeux taquins peut-être pas tout à fait réveillés, regardent le promeneur, comme interloqué de trouver quelqu'un encore ici. Les crues du Moyen-Age qu'elle aurait provoquées, dans sa grande colère, n'ont-t-elles pas eu raison de Lyon et de ses habitants ? " Mon idée n'était pas que ce monstre marin fasse peur. On s'est détaché du personnage rabelaisien pour aller vers l'humour et la bienveillance à l'image de ce que dit le festival, prendre soin de l'eau, aimer les fleuves, aller à leur rencontre... C'est un peu la mascotte. Une rencontre impromptue dans la nature. Je voulais que ses yeux sondent notre âme. Je peux parler à un public averti qui comprend les codes graphiques. Mais surtout, je parle aux enfants. Depuis que je travaille à Lyon, pour le 8 décembre, j'ai toujours eu envie de créer des oeuvres qui me ramènent au sentiment enfantin de l'émerveillement et de la fraîcheur. Dans ce monde-là, l'imaginaire dépasse tout." in Le Progrès du 30 juin 2022.

L'artiste [Jacques Rival] n'en est pas à son coup d'essai à Lyon. On se souvient de ses installations lumineuses XXL pour la Fête des lumières, de la boule à neige qu'il avait installée place Bellecour ou de la fontaine des Jacobins (2017) transformée en horloge. De l'insolite, de l'humour et du démesuré que l'on retrouve encore ici dans cette mâchecroute très colorée, désormais bien ancrée dans le présent, entre le pont de la Guillotière et le pont Wilson. De la légende du monstre marin décrit par Rabelais comme une créature terrible errant dans les eaux du Rhône, il ne reste que sa taille, gargantuesque. Sa tête mesure huit mètres de haut, 15 de large. On imagine sans peine la taille du reste du corps immergé sous les eaux du Rhône. Ses immenses yeux taquins peut-être pas tout à fait réveillés, regardent le promeneur, comme interloqué de trouver quelqu'un encore ici. Les crues du Moyen-Age qu'elle aurait provoquées, dans sa grande colère, n'ont-t-elles pas eu raison de Lyon et de ses habitants ? " Mon idée n'était pas que ce monstre marin fasse peur. On s'est détaché du personnage rabelaisien pour aller vers l'humour et la bienveillance à l'image de ce que dit le festival, prendre soin de l'eau, aimer les fleuves, aller à leur rencontre... C'est un peu la mascotte. Une rencontre impromptue dans la nature. Je voulais que ses yeux sondent notre âme. Je peux parler à un public averti qui comprend les codes graphiques. Mais surtout, je parle aux enfants. Depuis que je travaille à Lyon, pour le 8 décembre, j'ai toujours eu envie de créer des oeuvres qui me ramènent au sentiment enfantin de l'émerveillement et de la fraîcheur. Dans ce monde-là, l'imaginaire dépasse tout." in Le Progrès du 30 juin 2022.

De nombreuses initiations sont proposées durant le festival "Entre Rhône et Saône" dans diverses disciplines sportives notamment à la Darse de la Confluence : le kayak et le paddle sous l'égide de Canoë kayak Lyon Oullins Mulatière ; la voile poussée par le Cercle de voile Lyon-Meyzieu et les optimists du Yacht Club du Rhône.